Bien que cette page soit plus destinée aux professionnels de la santé et aux étudiants dans ce domaine, vous trouverez ci-dessous une vidéo de présentation du diabète sucré.
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Définition de l’hyperglycémie
Hyperglycémie = glycémie > 1,10 g/l (ou 6,1 mmol/l), mesuré à jeun
( = après 8 heures de jeûne).
Si glycémie à jeun > 1,26 g/l (ou 7 mmol/l) (à 2 reprises à 15 jours d’intervalle) ⇒ diabète.
(c’est le seuil d’apparition de la microangiopathie rétinienne d’après 3 études voir supplément hors texte)
« … 70% des prédiabètiques deviendront diabétique dans 10 ans, mais c’est réversible si :
1. perte de 5 à 7% (4,5 à 6.3 kg si on pèse 90 kg)
2. sport 150 minutes d’exercice / semaine en mouillant la chemise ! »
La marche au dessus de 6000 pas /J permet le maintient de la masse musculaire mais pas de gagner du muscle …
Les valeurs retenues pour l’hypoglycémie
< 0,50 g/L chez le non diabétique et
< 0,60 chez le diabétique, d’après Young, Jacques. et Al. Collège des enseignants d’endocrinologie, diabète et maladies métaboliques (France)., Endocrinologie, diabétologie et maladies métaboliques, Elsevier-Masson, dl 2016
(ISBN 9782294723681)
Page 212 premier paragraphe.
Valeurs de la glycémie postprandiale
= glycémie 2 h après ingestion de 75 g de glucose
chez le sujet normal < 1,4 g/l
entre 1,4 g/l (7.8 mmol/l) et 2 g/l (11 mmol/l)
on parle d’Intolérance au glucose
au delà de 2 g/l (11 mmol/l) on parle de diabète
Pour la glycémie en général
au delà de 2,5 g/l (environ 14 mmol/l)
il faut vérifier la présence de corps cétoniques (CC)
généralement dans les urines grâce à des bandelettes réactives
et le résultat est souvent exprimé en croix + ou ++
mais en présence de glycosurie 2 croix ou plus car on peut avoir une cétose de jeûne (mais dans ce cas il n’y a pas de glycosurie).
Certains services possèdent des lecteurs pouvant doser la cétonémie qui est pathologique si > 0,5 mmol/l
(dans un contexte d’hyperglycémie,
car le jeun induit une cétose
mais dans cette situation il n’y a pas d’hyperglycémie)
La présence de corps cétoniques
(⇐ carence absolue en insuline)
⇒ URGENCE
⇒ insulinothérapie en IV au PSE
Pour l’insulinothérapie IV il est impératif d’utiliser des prolongateurs rigides, étroits (contiennent 1 ml / 1 mètre) et non extensibles à connexion sécurisée (Luer-Lock ⇒ débranchement accidentel impossible car vissés) ce qui permet de déceler toute obstruction (le PSE se met en alarme obstruction ± rapidement selon le débit réglé, généralement < 30 minutes) sur la voie afin de réagir rapidement et d’éviter de longues (4 h ou plus) périodes sans traitement.
de nombreux protocoles existent, (voir TRT)
généralement les doses d’insulines sont élevées
(de l’ordre de 0,1 UI / kg / h, soit environs 144 UI / jour pour un adulte de 60 kg)
(retour à la voie s/c après 24 à 48 h sans CC)
(Pour la conversion des g/L aux mmol/L il faut multiplier par 5,5
et diviser pour passer des mmol/L aux g/L, sinon utiliser le convertisseur ci-dessous)
En période de jeun l’organisme subviens à ses besoins en glucose grâce à une production de glucose endogène qui tourne aux environs de 2,5 mg/kg/min
d’après (Métabolisme du glucose chez l’homme: réponses à la perfusion intraveineuse de glucose. = lien vers l’article original sur pubmed
(cliquer ici pour télécharger le document traduit en utilisant Google Traduction)
Pour inhiber cette production de glucose en général il faut perfuser au moins 1 mg/kg/min de glucose (environs 72 g de glucose / jour pour un adulte de 50 kg) (selon cette même étude).
Sachant qu’un flacon de 500 ml de SGI 5% contient 25 g de glucose on comprend qu’une perfusion de 1500 ml de SGI 5% (75 de glucose) chez l’adulte non diabétique est suffisante
(en matière de glucose)
* 2 heures après le repas la glycémie ne doit pas dépasser 1.4 g/L (7.8 mmol/L).
Au delà de cette valeur il faudra donc se méfier.
* On doit aussi prendre en compte que la capacité d’un individu à assimiler du glucose n’est pas illimitée
généralement un sujet normal peut assimiler
jusqu’à 4 mg/kg/min sans faire d’hyperglycémie,
ce taux peut arriver à 8 mg/kg/min
en y ajoutant d’autres nutriments lipides et protides.
Pour atteindre 15 mg/kg/min il faut rajouter de l’insuline
Au delà de ces valeurs on risque de voir apparaître une hyperglycémie iatrogène.
En pédiatrie
il faut se rappeler que plus l’enfant est jeune
plus les besoins en glucose sont élevés
(on passe de 18 mg/kg/min chez le nouveau-né à 7 mg/kg/min après 11 ans et à 4 mg/kg/min chez l’adulte)
d’où l’utilisation fréquente de SG 10% en pédiatrie
Utilisation du glucose (cliquer ici pour télécharger le cours en PDF)
Exemples de corrections chez l’adulte
Pas d’insuline en dessous de 2 g/l
+ 2 UI entre 2 et 2,5 g/l
+ 3 UI entre 2,5 et 3 g/l (vérifier l’absence de CC)
+ 5 UI entre 3 et 3,5 g/l
+ 7 UI entre 3,5 et 4 g/l
+ 10 UI entre 4 et 4,5 g/l
+ 12 UI au-delà de 4,5 g/l
Exemples de correction
à la dose d’insuline rapide lors d’un repas :
+ 2 UI de 1,5 à 2 g/l
+ 4 UI de 2 à 2,5 g/l
Erreur de régime ou sucre caché (attention aux aliments dits zéro sucre ou sans sucre ajouté qui sont déjà naturellement sucrés)
Oubli d’une dose d’insuline (ou obstruction du kt ou arrêt de la pompe pour les patients sous pompe à insuline) ou d’hypoglycémiant oral
Penser à une infection débutante
ou une maladie en cours (infarctus )
ou traitement hyperglycémiant (corticoïdes +++)
Signes de cétose = douleurs abdominales, nausées, vomissements
Signes d’hyperglycémie = polyurie et soif importante
Il existe deux types d’urgences hyperglycémiques
- l’acidocétose diabétique
(risque de coma acidocétosique) - hyperglycémie hyperosmolaire
(risque de coma hyperosmolaire)
L’acidocétose diabétique (ACD)
L’acidocétose diabétique survient surtout chez les diabétiques de type 1.
Elle se caractérise par une hyperglycémie modérée,
> 3 g/l (16 mmol/l certains retiennent le seuil de 20 mmol/l) mais < 5,45 g/l (30 mmol/l)
associée à la présence de corps cétoniques dans le sang et les urines.
Les corps cétoniques ← dégradation des graisses.
(Utilisés en l’absence de glucose par le cœur, les reins et le cerveau)
Leur accumulation dans le sang est toxique pour le corps.
← leur présence témoigne du insulinopénie absolue
(en présence d’une hyperglycémie, car on les retrouve aussi dans les situations de jeun dont ils sont le témoin)
⇒ le corps doit puiser dans ses réserves de graisse pour obtenir l’énergie que lui fournit habituellement le glucose.
(Glucose = Sucre simple qui est une des principales sources d’énergie du corps, il n’y a que le cerveau qui peut l’utiliser sans insuline.)
L’acidocétose diabétique chez le diabétique sous insuline connu et traité peut survenir lors de l’oubli d’une dose d’insuline, d’un arrêt de la pompe à insuline (ou de l’obstruction du kt) ou d’un problème médical (infarctus, ou état infectieux).
Comme elle peut être inaugurale (mode de début d’un diabète insulino-dépendant).
- Respiration profonde et rapide (= signe d’acidose)
dyspnée de KUSSMAUL - Haleine fruitée (odeur cétonique) (signe de cétose)
- Nausées, vomissements (signe de cétose)
- Douleurs abdominales (signe de cétose)
Changement de l’état de conscience, confusion, agitation, comportement inhabituel
Hyperglycémie constante > 3 g/L
(souvent modérée) < 5 g/l
+ présence de corps cétoniques (CC)
(dans le sang (> 0.5 mmol/L) et dans les urines (> 1+) associée à une glycosurie)
Solution de sérum salé 0.9% + insuline rapide (1 unité / ml) au PSE (50 ui dans 50 ml)
La posologie habituelle de l’insulinothérapie est de 0.1 ui / kg / h
(soit 6 unités / h pour un adulte de 60 kg = 144 ui / 24 h)
qui sont réadaptés en fonction de la réponse (glycémie capillaire)
Sérum salé 0.9% + KCl (2.5 à 3 g / flacon de 500 ml)
(Introduire du SGI 5% à partir de 2 g/l de glycémie
pour continuer l’insulinothérapie IV
jusqu’à disparition des corps cétoniques sans risquer d’hypoglycémie)
La Kaliopénie (diminution de la quantité totale de potassium dans le corps) est constante
← diurèse osmotique, des vomissements ou de l’hyperaldostéronisme secondaire à la déshydratation
même si au début la kaliémie peut être faussement normale à cause de l’acidose
Pas de bolus IV car risque d’hypokaliémie brutale.
Ajuster la vitesse pour obtenir une baisse progressive de 1 g / h de la glycémie chez l’adulte
(et 0.5 g/L / h chez l’enfant) pour éviter des dommages cérébraux.
Généralement la correction des troubles se fait en 3 à 6 heures
(et c’est pour cela qu’il ne faut pas se presser et faire des bolus en IV)
mais l’insulinothérapie IV est maintenue 48 h sans corps cétoniques.
Le passage à l’insuline en sous-cutané se fait après 48 h sans corps cétoniques
(et la dose d’insuline sous cutanée totale après disparition des corps cétoniques est habituellement < 50% de la dose journalière nécessaire pour maintenir une glycémie normale)
Le passage à l’insuline en sous-cutané se fait après 48 h sans corps cétoniques
(et la dose d’insuline sous cutanée totale après disparition des corps cétoniques est habituellement < 50% de la dose journalière nécessaire pour maintenir une glycémie normale)
Pour les patients diabétiques la dose habituelle d’insuline lente nécessaire pour maintenir la glycémie normale est de 30 à 50 % du poids du corps
(soit 18 à 30 ui pour un adulte de 60 kg)
à laquelle il faudra rajouter une dose bolus d’insuline rapide à chaque repas (schéma basal + bolus) qui correspond en général à environ 50 ou 70% du poids du corps à répartir sur 3 repas
(soit environ 10 à 14 unités pour chacun des 3 repas quotidiens, mais cette répartition n’est pas forcement égale et varie d’un individu à l’autre en fonction de l’activité, des habitudes alimentaires, et d’autres facteurs …)
(ces doses sont données à titre indicatif
car dans tout les cas le traitement doit être adapté au patient
et la gestion du traitement par l’insuline
et le suivi du patient au long cours est du ressort des diabétologues)
L’état d’hyperglycémie hyperosmolaire
ou syndrome d’hyperglycémie hyperosmolaire (SHH)
aussi appelé coma hyperosmolaire
survient en général chez les diabétiques de type 2 (DNID)
Cet état est caractérisé par une hyperglycémie,
souvent > 33 mmol/L (6 g/L), sans corps cétoniques
et une déshydratation sévère.
Qui peut entraîner un coma hyperosmolaire qui se définit par une osmolarité > 320 mmol/l avec une hyperglycémie majeure (> 6 g/l ou 33 mmol/l) et une absence de cétose
Lors d’une hyperglycémie,
↑ glucose dans le sang ⇒ ↑ fréquence & volume des urines.
⇒ perte excessive d’eau → déshydratation importante.
Peut s’ensuivre ↓ PA → altération de l’état de conscience → coma s’il n’y a aucune intervention médicale.
Les symptômes sont principalement ceux de l’hyperglycémie
* urines fréquentes et abondantes,
* soif intense et une
* grande fatigue ainsi que des signes de déshydratation tels que :
la bouche sèche, les yeux creux, la peau moins élastique, etc.
Les personnes ayant une atteinte de la fonction rénale sont plus susceptibles de subir des épisodes d’hyperglycémie hyperosmolaire car le rein élimine moins bien l’excès de glucose dans le sang, en situation d’hyperglycémie.
Les personnes âgées, lesquelles ressentent moins la soif, sont aussi plus à risque.
Réhydratation IV ± insulinothérapie IV
50 à 100 ml/kg/j
(en fonction de la tolérance cardiovasculaire)
comme les hyperosmolarités sanguines sont plutôt l’apanage des DNID et que l’on retrouve chez les personnes âgées
et dont la fonction cardiaque est souvent altérée
⇒ attention à une réhydratation trop rapide ! car risque d’OAP
Garder en tête que c’est un trouble qui s’est installé lentement (sur plusieurs jours) alors il vaut mieux le corriger lentement
pour éviter des troubles neurologiques dus à un œdème cérébral.
généralement la correction biologique se fait en 24 h
et la récupération neurologique se fait en 48 h
(au delà de 6 g/L de glycémie la conscience est souvent altérée)
Sérum salé 0.9%
(= soluté de choix, certains utilisent aussi du sérum salé 0,45%)
Surveillance de la reprise de la diurèse
(surveillance de la densité urinaire à la bandelette)
+ contrôle biologique de la fonction rénale après 4 h
(on doit retrouver une baisse de l’urée)
L’hyperglycémie ne tue pas,
c’est l’hypokaliémie qui tue !
Toujours apporter du K+ lors des insulinothérapies IV
(surtout quand le patient est à jeun)
(1 mmol de K+ / 1 ui d’insuline
soit
1 g KCl pour 13 ui d’insuline)
un débit de 2 ui/h sur 24 h
impose de donner 48 mmol de potassium / jour
soit un minimum de 3,5 g KCl / jour
sous peine de créer des troubles du rythme cardiaque
Eviter les bolus IV d’insuline
(qui peuvent faire baisser brutalement la kaliémie par transfert intra cellulaire)
⇒ risque de décès
Quand on ne sait pas quoi faire
il faut au moins compenser les pertes hydriques.
L’hyperglycémie n’a jamais tué personne !
Le seul risque est la déshydratation
(à cause de la diurèse osmotique qui n’est pas un phénomène instantané
et qui nous laisse le temps de le corriger,
contrairement au trouble du rythme qui est un phénomène brutal,
difficile à diagnostiquer quand le patient n’est pas monitoré
et dont le traitement doit être quasiment immédiat
car le décès du patient peut survenir rapidement.)
Pour un bon équilibre du diabète, il est important d’avoir des notions sur la composition (glucidique) des aliments.
Il existe des aliments zéro glucides qui ne font pas grimper la glycémie (à ne pas confondre avec les aliments dits sans sucre ajoutés, qui sont des aliments naturellement sucrés comme les jus de fruits mais auxquels on n’a pas rajouté plus de sucre),
des aliments à faible teneur en glucides (qui doivent composer le repas) et
des aliments à forte teneur en glucides (à connaître pour les éviter en général mais à consommer en urgence en cas d’hypoglycémie).
Les préparations à base de viande, tels que les charcuteries contiennent très peu de glucides (< 1 g / 100).
Les œufs aussi contiennent peu de glucides (0,3 g/100)
Les fromages sont pour la plupart sans glucides mais certains contiennent des glucides :
- les bleus, la mozzarella (< 1 g/100) ,
- la feta (1,5 g/ 100)
- et le mascarpone (4 g/ 100)
Pour les boissons habituelles
- Café noir, non sucré = 0,3 g/ 100 ml
- Café crème, non sucré = 0,5 g/ 100 ml
- Expresso crème, non sucré = 0,8 g/ 100 ml
- Café au lait, non sucré = 1,4 g/ 100 ml
- Lait d’amandes = 1,6 g/ 100 ml
- Lait = 4,6 g/ 100 ml
- Lait de coco = 3,1 g/ 100 ml
Petit déjeuner, pains et viennoiseries
- Baguette = 51 g/100
- Biscotte = 75 g/100
- Avoine, flocons = 60 g/100
- Cornflakes = 80 g/100
- Croissant = 41 g/100
- Petit pain = 52 g/100
- Petit pain au lait = 47 g/100
- Pain aux noix = 31 g/100
- Pain de mie blanc = 50 g/100
- Pain de mie, complet = 44 g/100
- Pain de seigle au levain = 42 g/100
- Tresse au beurre = 46 g/100
- Galette de riz complet = 82 g/100
Pâtes à tartiner / confitures
Hors textes
- The expert commitee on the diagnosis and classification of diabetes mellitus. report ox the expert commitee on the diagnosis and classification of diabetes mellitus. Diabete care, 1997, 20 1183-1197
- Mc Cance DR, Hanson RL, Charles MA et al. Comparison of tests for glycated haemoglobin and fasting two hour plasma glucose concentrations as diagnostic methods for diabetes. Br Med J, 1994, 308 1323-1328
- Finch CF, Zimmet PZ, Alberti KGMM. Determining diabetes prevalence : a rational basis for the use of fasting plasma glucose concentrations ? Diabetic Med, 1990, 7, 603-610
- Hormone sécrétée par les cellules des îlots bêta du pancréas permettant aux cellules d’utiliser le glucose (il n’y a que les cellules cérébrales qui peuvent utiliser le glucose sans insuline) ce qui a pour effet d’abaisser le taux de glucose dans le sang)
Ressources Web sur les traitements du diabète
vidéo pédagogique réalisée par la Fédération Française des Diabétiques
⇒ Traitement par l’insuline sur le site de l’AJD (Aide aux Jeunes Diabétiques).
⇒ Plus d’informations sur les insulines sur le site Pharmaco médicale.
Pour se faire plaisir chercher sur internet des recettes Low Carb pour vous permettre de préparer de bon plats pour diabétique, se sont souvent des repas riches en protéines et légumes ± produits laitiers …
- Traité d’Anesthésie et de Réanimation (Olivier Fourcade, Thomas Geeraerts, Vincent Minville, Kamran Samii) Ed. Lavoisier
- Protocoles 2016 MAPAR Éditions
- Livre de l’interne en réanimation (Adrien Bouglé, Jean-Paul MIRA et Al. Ed. Lavoisier)
-
Médecine Intensive réanimation urgences et défaillances viscérales aiguës (CEMIR) Ed. ELSEVIER
Guide médical de prise en charge du diabète en milieu intra-hospitalier (HUG 2017) Lien vers le site des HUG ou télécharger le fichier
http://www.chups.jussieu.fr/polys/diabeto/POLY.Chp.8.html
http://www.chups.jussieu.fr/polys/diabeto/POLY.Chp.9.html
Chaînes You Tube qui traitent du diabète
Pour ne pas être seul face à son diabète il existe de nombreuses chaînes de structures de soins approuvées par le ministère de la santé, des associations agrées mais aussi de particuliers diabétiques qui présentent leur expérience :
La chaîne de l’AJD (Aide aux jeunes diabétiques)
La Chaîne Diab Aide réalisée par les sœurs jumelles Anne & Elise dont le slogan est « On n’adapte pas sa vie au diabète, mais le diabète à sa vie ! »
La chaîne Type One Talks réalisée par Tom, diabétique de type 1 depuis +30 ans
La chaîne de la fédération française des diabétiques (FFD)
Dans le même contexte de cet article une courte vidéo sur la galère que vit un diabétique au cours d’une hyperglycémie
… tout ce qu’il faut savoir, grâce a des tutos et des vidéos !
Mis à jours Octobre 2022
2 réflexions au sujet de “Hyperglycémie”
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